Vigne

Confrérie Saint-Étienne

Une « mémoire » à bien reboucher

Publié le 27/07/2020 | par Nicolas Bernard

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Nicolas Bernard
Cette nouvelle boucheuse, plus sécurisée que l’ancienne, dispose des dernières technologies utilisées sur les plus grosses machines fabriquées par Stevial.

Petite virée œnologique en 1985. Dans le sous-sol de la confrérie Saint-Étienne à Kientzheim, une quinzaine de personnes s’affairent à entretenir la mémoire des vins d’Alsace. Chacun son rôle, chacun sa place dans un rituel parfaitement huilé : le rebouchage des millésimes anciens de la vaste œnothèque de la confrérie, soit 60 000 bouteilles sigillées qui sont autant de témoignages d’un vignoble riche et diversifié, qui n’a cessé d’évoluer avec le temps.

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