« Cette année, le vol des pyrales a été particulièrement tardif, entre début et mi-juillet, alors qu’il a généralement lieu au mois de juin », introduit Bruno Schmitt. La pression du ravageur a, en outre, été particulièrement faible en 2024. Une bonne nouvelle, alors que l’arsenal chimique qui permet de lutter contre l’insecte se réduit. « Comme on utilise régulièrement les mêmes matières actives, il y a un risque de baisse d’efficacité et de sélection des individus résistants. »