Publié le 04/10/2018
La campagne céréalière 2018 a confirmé le double défi auquel sont confrontés les agriculteurs : d’un côté un panel d’outils chimiques qui se résorbe, de l’autre des aléas climatiques qui augmentent. Des solutions alternatives existent, passant par le choix des variétés, de la date de semis… Mais, lorsque le climat devient trop extrême, les résultats escomptés ne sont pas toujours obtenus.
Les mois de décembre et janvier ont été chauds, mais le mois de février a été marqué par le gel : « Le froid s’est installé de manière progressive, sans impacter les céréales qui ont eu le temps de s’endurcir progressivement », note Pierre Geist, conseiller à la Chambre d'agriculture d’Alsace...