L’évolution climatique vers des étés plus chauds et secs a conduit conseillers et agriculteurs à s’intéresser depuis plusieurs années au sorgho (ou plutôt aux sorghos tant leurs types sont différents), une plante capable de valoriser des températures supérieures à 30 °C, qui tolère un stress hydrique assez important, et qui constitue, grâce à sa bonne aptitude à l’ensilage, une source d’énergie relativement pauvre en amidon par rapport au maïs, avec des intrants réduits.