Publié le 13/05/2017
Dans le cadre de sa thèse, Mathilde Tissier a étudié la biologie du grand hamster, et notamment les conséquences de son alimentation sur sa reproduction. Elle a démontré que certaines associations culturales lui sont nettement plus bénéfiques que d’autres, et surtout qu’une alimentation peu diversifiée. De quoi donner des pistes aux agriculteurs qui s’efforcent de contribuer à restaurer la population locale de rongeur. Et, au-delà, de préserver l’équilibre de la faune alsacienne.
Dans le cadre de son master en écophysiologie et en éthologie à l’Université de Strasbourg, Mathilde Tissier avait effectué un stage à l’Institut pluridisciplinaire Hubert Curien (IPHC) sur l’effet du stress sur la reproduction des oiseaux. Puis, comme 31 autres personnes, elle a postulé pour...